Global Search
Alors que le secteur du tourisme entre dans la deuxième année d’une crise sans précédent, l’impact sur les femmes du secteur est frappant. D’après l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), la pandémie et la chute inédite du nombre d’arrivées de touristes internationaux risquent de remettre en question les progrès réalisés vers l’égalité femmes-hommes et les efforts d’autonomisation des femmes et des filles.
Une destination sur trois dans le monde est complètement fermée au tourisme international actuellement. D’après les données les plus récentes de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), l’apparition de nouveaux variants du virus de la COVID-19 a conduit de nombreux gouvernements à remettre en question leurs efforts d’assouplissement des restrictions sur les voyages, les fermetures totales aux touristes étant les plus fréquentes en Asie-Pacifique et en Europe.
Par les valeurs qu’ils ont en partage et leurs liens étroits, les secteurs du tourisme et de la culture peuvent, en agissant de concert, assurer un accès inclusif au patrimoine à mesure que les pays à travers le monde se relèvent de la pandémie. Conscientes de cette relation de renforcement mutuel, l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) et l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) ont collaboré à l’élaboration d’un nouvel ensemble de directives pour une reprise responsable du tourisme culturel.
Des start-up du monde entier ont été récompensées dans le cadre du concours mondial de l'OMT pour leur contribution unique à un tourisme durable et responsable visant à atteindre les objectifs de développement durable (ODD).
Le tourisme mondial a enregistré en 2020 les plus mauvais résultats de son histoire, les arrivées internationales chutant de 74 % d’après les dernières données de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT). En 2020, à l’échelle mondiale, les destinations ont reçu 1 milliard d’arrivées internationales en moins par rapport à l’année précédente, par suite d’un effondrement sans précédent de la demande et de l’instauration généralisée de restrictions sur les voyages. En guise de comparaison, la crise économique mondiale de 2009 s’était traduite par une baisse de 4 %.